Sentimentalement je m’exprime sans débauche gestuelle dans un contexte excluant toute hypocrisie néo-bourgeoise, mais ma taciturnité apparente contient en réalité une affectivité structurée à partir d’un cynisme formel qui transcende des élans passionnel, garantissant l’auto détermination de la femme en tant qu’entité physique et intellectuelle. Plus simplement, je suis une machine.

Plus les gens me confie leurs problèmes de coeur, plus je me sens détaché du monde. Tous me narrent avec émotions leurs amours, leurs émotions, leurs angoisses et leurs désirs. J'ai l'impression de devenir un trou noir dans lequel les sentiments des autres s'y perdent et disparaissent.Ca me terrifie.

Et dans ces méandres, je ne suis pas sur d'en avoir, et encore moins d'en vouloir.

A part ça, tout va bien ! Non, je ne déprime pas. Je suis juste un petit peu fatigué, et je suis retourné au boulot. Et en plus, je n'ai pas grand chose à faire aujourd'hui. Alors, forcement, je divague.

En fait, je crois que je manque un petit peu de présence féminine dans ma vie en ce moment. Reste à trouver la bonne, parce que franchement les précédentes, c'était pas ça.

Passons, je n'ai pas pour habitude de cracher dans la soupe, surtout qu'elle était bonne à l'époque !

Je me suis bien marré ce matin sur les routes. J'ai une heure de voiture pour arriver au boulot, alors forcement, le neige brise un peu la monotonie du transit. J'ai croisé des courageux qui avaient décider d'installer des chaînes sur leurs pneus pour terrasser les 2 malheureux cm de neige qu'il y avait.

Est-ce de la bêtise ou du non-savoir ? Peut être que ça revient au même... En tous cas, rien de comparable à ce que j'ai vu à la télé hier...

Hier soir, j'ai vu un gars donner 150 euro à une femme pour lui déverser une boite de cassoulet dans son sac. Arf, ma maladie ma rattrape, faut que je vous laisse là !