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Vive la pubis-itée

Excusez le jeux de mots, c’était plus fort que moi. Hier soir j’ai regardé la télé. En ce moment c’est plutôt rare. Moment privilégié en face de l’aquarium moderne. Les acteurs ont remplacés les poissons rouges. Est-ce vraiment mieux ?

Je regardais avec la plus grande compassion un animateur essayer d’en placer une, entouré d’une vieille bique que n’a pas du voir d’homme nu depuis longtemps. D’une pute cathodique qui elle, n’a pas du voir d’homme habillé depuis longtemps. Un sociologue qui n’a manifestement pas compris qu’un débat télévisé n’est pas synonyme de communication et un petit couple tout mignon qui devait s’être perdu lors d’une visite organisé des studio de la chaîne.

Tous réunis pour parler des dérives publicitaires de notre société.

En gros, est-ce qu’un mannequin en string est l’image la plus adéquate pour vendre plus de pomme de terre précuite, pré maché et sans aucun goût ?

Alors, comme à chaque fois, le débat fut d’une inutilité comme seul la télé sait produire. Entre ceux qui regardent toujours leur sexe comme étant le fruit de la collaboration entre Dieu et le Diable pour la conception de nos corps. Et ceux qui lui confère des vertus pécuniaires plus que surprenantes.

Des deux catégories, aucunes ne s’accordent sur les différentes questions posées par l’heureux animateur, mais elles se réunissent en un point, la prédominance du sexe.

Au fond ils pensent tous à la même chose, mais avec des libertés personnelles différentes.

Loin de moi l’idée de sous estimer la place du sexe dans la vie, mais c’est surtout leurs capacité à le voir partout qui me surprend toujours. Contrairement au pro freudiens, je ne vois pas dans un gros stylo une quelconque forme phallique. Ni dans un sous-marin, ni dans un avion de ligne, ni dans une baguettes…

Lorsque mon regard se pose sur une jolie fille, c’est animé par des pulsions sexuelles que je préfère conserver dans mon champ de vision un paysage flatteur, mais de là à m’imaginer une quelconque et hypothétique scène torride entre elle et moi… Y’a une marge.

Si j’avais accordé une grande importance aux arguments des différents acteurs du débat, je n’oserai pas regarder une fille de peur de ne plus être capable de me maîtriser, sans compter la terreur que je pourrais engendrer chez elle.

Mais il ne faut pas tombé dans un réquisitoire de la naïveté non plus, si un homme va parler avec une femme qu’il ne connaît pas encore, c’est rarement pour lui raconter la dernières blagues à la mode. Et il existent au moins autant d’hommes chiants que de femmes insupportables. Et c’est pas peu dire…

Je ne comprend pas bien pourquoi certains hommes ont peur des femmes, et pourquoi certaines femmes ont peur des hommes. Tout est une question de statistiques ; Mesdames, la probabilité pour que le temps, aussi long soit-il, que vous aller passer avec l’homme sur lequel vous avez ‘flashé’ soit plus désagréable que de passer 5 minutes avec la pire conne que vous connaissez est infime !

La réciproque étant bien sur vérifié plus d’une fois par mes soins…

Alors :

Messieurs, Mesdemoiselles, Mesdames,

C’est animé par une volonté farouche de faire avancer les choses. Et de peur de laisser en plan une situation pour laquelle un certain nombre d’individu pas toujours louche préfèrent la non action, ou une réaction minime qui ne redonnerai même pas envie de voler à un pigeon voyageur, que je prends la plume de canard taillé par mes soins et régulièrement trempé dans une encre de qualité supérieure à celle d’un poulpe de grande profondeur pour vous insuffler une volonté et un certain courage farouche nécessaire pour se prendre par la main, comme tout les mignons couple qui se promène dans nos rues. Poil aux c…

Tiens tant qu’on en parle, c’est souvent après une attentive observation de ce dernier et du reste d’ailleurs que le besoin d’agir en circonstance non circoncises mais tout aussi tranchante se fait sentir. Sachant qu’il est toujours préférable de battre les fers tant qu’ils sont chaud et que dans le même ordre d’esprit il vaut toujours mieux boire les verres tant qu’ils sont frais. Je n’arrive qu’en circonstance sonnante et trébuchante à comprendre la supériorité de la solitude sur un dialogue ouvert et générateur de joie, d’espoir et certaine fois créateur de vocations athlétiques moins solitaire que celles aux quelles nous nous adonnons quelques fois et le nions toujours, de peur de passer pour des personnes que la morale réprouve et que la police toléraient hier encore.

Alors je vous en conjure mes confrères et consœurs, quand on parle de con dans le but de se compléter, on n’est que très rarement con pour le ou la complice. Et même dans l’hypothèse d’une possible antithèse de mes dires, c’est toujours qu’en forgeant que l’on peut espérer un jour devenir forgeron.

N’est-ce pas ?

Ecrit par Aniki, le Mardi 17 Février 2004, 16:25 dans la rubrique Premiers Pas.