Loin de moi l’idée de paraître malpolis ; mais les filles sont bien jolies en ce moment.
Ca doit sûrement être le retour du soleil. Remarquez, elles n’étaient pas plus moches en hiver. Mais c’est comme ça.
Je ne m’aventurerai pas plus sur un terrain glissant ; mais bon. Elles sont toutes formidables. Vous croyez qu’elles voudront bien de moi dans la prochaine manif pro femmes ?
L’humeur du jour est plutôt à la décontraction. Il fait abominablement chaud dans les bureaux, et chacun s’escrime à mieux s’aérer que l’autre. Vivement l’été. Je n’ai jamais été très pote avec le froid.
De toute façon je n’aime pas les cols roulés. Ca me gratte. Et puis, ce n’est pas pratique avec une chemise, donc pas bien du tout pour aller bosser.
Ca me donne des envies de voyage, la bougeotte me reprend de plus belle. J’aime l’ambiance pesante des aéroports avant l’embarquement. J’aime découvrir de nouvelles cultures ; je n’arrive plus à rester en place.
Hier, j’ai pris une journée de congé pour faire un petit tour de tous mes amis. Je ne voulais pas aller travailler. Mal pas très louable en soi, mais à 70/80 heures la semaines en moyenne depuis 2 ans ; je crois que je peux bien me le permettre.
Alors j’ai passé presque toute ma journée en voiture et le reste du temps à écouter les bavardages de mes amis. Certains plus enjoués que d’autres. Toujours sympa.
Ils se sont tous préoccupés de tous les petits détails de ma vie. Fort heureux d’apprendre que je n’étais pas seul, que la santé allais pas trop mal. Pas très passionnant. Mais ça fait toujours plaisir de reparler à des gens que je n’avais pas vu depuis longtemps.
En vérité, il n’y a pas grand-chose à raconter. Et encore moins à penser. Je me sentais seul ; c’est tout.
Vers le début de soirée, je n’avais pas trop envie de rentrer chez moi. Ma douce m’avait prévenue qu’elle allait rentrer tard. Alors je me suis posé à la terrasse d’un café. Au bout de 5 minutes, une fort jolie personne s’est installé juste a coté de moi.
Je suis resté toute la soirée à parler avec elle. Il s’en ai passé des choses passer des choses passionnantes dans se vie. Je l’écoutais religieusement me raconter ses histoires. Puis, elle s’est levé et m’a embrassée pour me dire au revoir.
J’étais bien comme un con. Sur ma chaise, avec son numéro noté sur la note (Je l’ai aperçu après). Et elle s’éloignant après m’avoir fait un joli sourire… Je ne pouvais m’empêcher de me poser une simple question :
Pourquoi ?
Je ne m’aventurerai pas plus sur un terrain glissant ; mais bon. Elles sont toutes formidables. Vous croyez qu’elles voudront bien de moi dans la prochaine manif pro femmes ?
L’humeur du jour est plutôt à la décontraction. Il fait abominablement chaud dans les bureaux, et chacun s’escrime à mieux s’aérer que l’autre. Vivement l’été. Je n’ai jamais été très pote avec le froid.
De toute façon je n’aime pas les cols roulés. Ca me gratte. Et puis, ce n’est pas pratique avec une chemise, donc pas bien du tout pour aller bosser.
Ca me donne des envies de voyage, la bougeotte me reprend de plus belle. J’aime l’ambiance pesante des aéroports avant l’embarquement. J’aime découvrir de nouvelles cultures ; je n’arrive plus à rester en place.
Hier, j’ai pris une journée de congé pour faire un petit tour de tous mes amis. Je ne voulais pas aller travailler. Mal pas très louable en soi, mais à 70/80 heures la semaines en moyenne depuis 2 ans ; je crois que je peux bien me le permettre.
Alors j’ai passé presque toute ma journée en voiture et le reste du temps à écouter les bavardages de mes amis. Certains plus enjoués que d’autres. Toujours sympa.
Ils se sont tous préoccupés de tous les petits détails de ma vie. Fort heureux d’apprendre que je n’étais pas seul, que la santé allais pas trop mal. Pas très passionnant. Mais ça fait toujours plaisir de reparler à des gens que je n’avais pas vu depuis longtemps.
En vérité, il n’y a pas grand-chose à raconter. Et encore moins à penser. Je me sentais seul ; c’est tout.
Vers le début de soirée, je n’avais pas trop envie de rentrer chez moi. Ma douce m’avait prévenue qu’elle allait rentrer tard. Alors je me suis posé à la terrasse d’un café. Au bout de 5 minutes, une fort jolie personne s’est installé juste a coté de moi.
Je suis resté toute la soirée à parler avec elle. Il s’en ai passé des choses passer des choses passionnantes dans se vie. Je l’écoutais religieusement me raconter ses histoires. Puis, elle s’est levé et m’a embrassée pour me dire au revoir.
J’étais bien comme un con. Sur ma chaise, avec son numéro noté sur la note (Je l’ai aperçu après). Et elle s’éloignant après m’avoir fait un joli sourire… Je ne pouvais m’empêcher de me poser une simple question :
Pourquoi ?
Ecrit par Aniki, le Jeudi 1 Avril 2004, 16:26 dans la rubrique Premiers Pas.
Commentaires :
Re: hum
C’est vrai, elle n’a pas beaucoup apprécié…. Mais j’ai une copine formidable. Non pas parce qu’elle me laisse faire n’importe quoi avec n’importe qui, mais elle est très calme et posée. Elle a râlé plus par principe que par inquiétude. Elle ne fait pas partie des filles qui râlent sans chercher à comprendre ce qu’il s’est passé. Oui, elle est unique !
hum